Dossiers

Elections à l'Assemblée Générale Novalis Retraite Cadre Agirc

Les membres des Conseils d’administration et les délégués à l’Assemblée générale des Caisses de retraite AGIRC – en ce qui vous concerne, il s’agit de NOVALIS RETRAITE CADRE AGIRC (qui résulte de la fusion des groupes de protection sociale NOVALIS et TAITBOUT) – sont élus par les salariés pour la partie qui les représentent dans le Conseil et à l’Assemblée générale.

Règles d'or : celles-ci en sont déjà

Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances. Tout bien, toute entreprise, dont […]

"Règle d'or des finances publiques" : loi d'airain et chape de plomb

En 2010, il était apparu au grand jour que la réforme des retraites imposée par le gouvernement avait entre autre comme objectif essentiel de donner des gages aux agences de notation dont le rôle obscur n’a cessé ces derniers mois d’être mis sous les feux de l’actualité.
La préservation de la note « triple A » de la France sert de prétexte à une cure d’austérité qui durant des mois n’a pas voulu dire son nom et que l’exécutif a toujours du mal à assumer. Il n’empêche, la chasse au déficit est devenue l’alpha et l’oméga du discours politique.

APEC : le MEDEF cale devant la détermination des syndicats

Parce qu’ils ont fait bloc depuis des mois face aux représentants patronaux, les syndicats sont en passe de marquer un point décisif dans les négociations débutées fin 2010 sur les missions de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) pour assurer sa pérennité alors qu’elle était dans le collimateur de la Commission européenne.

Une partie du patronat voulait en effet profiter de l’obligation faite à l’Apec de se mettre en conformité avec les règles de la libre concurrence pour remettre en question les missions de service public de l’Apec.

Salaires minima conventionnels mensuels pour 2011

Il s’agit du barème de la convention collective métallurgie région parisienne, applicable à l’ensemble du groupe Thales bareme région parisienne Pour information, les salaires mini pratiqués en région, il n’y a pas de convention collective nationale ni de barème unique […]

Retraites : ça ne peut pas continuer comme ça

A peine la mauvaise réforme de 2010 entrée en vigueur, plusieurs articles de presse annoncent que le gouvernement s’apprêterait, en se retranchant derrière un « avis technique » du COR purement formel, à allonger de nouveau d’un trimestre la durée de cotisations […]

Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas

C’est une décision très importante que la Cour d’appel de Versailles a rendu le 19 mai en confirmant la faute inexcusable de Renault dans le suicide d’Antonio B., un ingénieur qui travaillait au Technocentre de Guyancourt dans les Yvelines.
C’est en effet la première fois que la justice rend une telle décision.
Elle envoie un signe aux directions d’entreprises : on ne peut impunément demander toujours plus aux salariés avec toujours moins de moyens.
On ne peut, sans prendre un risque juridique lourd, mettre en oeuvre des stratégies de management qui isolent, qui individualisent, qui portent atteinte à la dignité et à l’équilibre des individus. « La cour d’appel a dit que Renault avait nécessairement conscience du danger auquel était exposé Antonio B. au regard de sa charge de travail », a commenté l’avocate de la famille du salarié.

Plouf !

S’il fallait décerner des prix de persuasion c’est incontestablement à Laurence Parisot, la patronne des patrons qu’il faudrait décerner une mention spéciale pour avoir réussi à convaincre le gouvernement en moins d’une semaine de transformer la fameuse prime aux salariés annoncée hâtivement par Nicolas Sarkozy en un simple abondement des dispositifs existants.

La "prime" dont personne ne veut

Nicolas Sarkozy n’est décidément jamais autant lui-même que dans ce rôle de pourfendeur, seul contre tous, chevalier blanc défendant le peuple qui souffre et « la France qui se lève tôt » contre toutes les forces qui empêchent la réforme, le mouvement. Jamais aussi brillant que dans l’imposture cynique et les roulements d’épaules.
Avec la question des salaires, il nous l’a joué ces derniers jours sa partition favorite, celle du bateleur sur ses tréteaux de campagne.
En rechaussant les bottes du candidat « du pouvoir d’achat » à un an de la présidentielle, Nicolas Sarkozy a soulevé les réactions incrédules voire hostiles du patronat et le rejet des organisations syndicales en annonçant les contours d’une prime obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés.

Lutte pour les salaires à TCF : elle continue

La direction a pu mesurer, le 5 avril, la profondeur du mécontentement.Que le directeur du site veuille,à Magellan, couper des chaînes pas même retenues par le moindre cadenas, qu’il ouvre des portes pour chaque bâtiment et que les salariés préfèrent […]

Assurance chômage : pourquoi la CGT ne signe pas

Un projet d’accord national interprofessionnel du 25 mars 2011 relatif à l’indemnisation du chômage est soumis à signature des organisations syndicales.
Ce projet d’accord, composé de cinq articles, a pour objectif d’arrêter les nouveaux paramètres d’indemnisation du chômage et de fixer le niveau des cotisations des employeurs et des salariés.
Dès le début de la négociation, le patronat a proposé la mise en place d’un groupe de travail paritaire « politique », pour renvoyer à plus tard les revendications portées en commun par les organisations syndicales.
Le procès-verbal annexé au projet d’accord détermine les thèmes de discussion, dont la liste n’est pas limitative.
Cette réflexion devrait servir de base de travail pour la négociation de la prochaine convention d’assurance chômage en 2013.
Cependant, la feuille de route ne fixe aucune obligation de résultat et l’expérience montre que ce processus reste aléatoire.