Salaires

En 2013 : Quelle réforme pour les retraites ?

La CGT a des propositions qui permettraient de dégager des ressources supplémentaires pour régler durablement la question des déficits ; amélioreraient la situation des retraités actuels et futurs ; favoriseraient l’emploi et les salaires.

Salaires minima conventionnels mensuels pour 2013

Il s’agit du barème de la convention collective métallurgie région parisienne, applicable à l’ensemble du groupe Thales les barèmes 2013 Pour information, les salaires mini pratiqués en région, il n’y a pas de convention collective nationale ni de barème unique […]

Salaires minima conventionnels Ingénieurs et Cadres 2012

Les négociations 2012 des minima IC ont entériné une nouvelle fois un processus de tassement des garanties collectives des ingénieurs et cadres : une réévaluation de +2,3% pour une infl ation à 2,5% et une augmentation à 2,9% du plafond de la sécurité sociale.%%% Au-delà du constat, quels sont les enjeux de cette nouvelle dégradation quand on la met en perspective sur le long terme ?%%% Seule la CGT n’a pas signé l’accord et les 4 organisations syndicales signataires sont bien discrètes sur leur signature. %%%

Salaires minima conventionnels mensuels pour 2011

Il s’agit du barème de la convention collective métallurgie région parisienne, applicable à l’ensemble du groupe Thales bareme région parisienne Pour information, les salaires mini pratiqués en région, il n’y a pas de convention collective nationale ni de barème unique […]

Plouf !

S’il fallait décerner des prix de persuasion c’est incontestablement à Laurence Parisot, la patronne des patrons qu’il faudrait décerner une mention spéciale pour avoir réussi à convaincre le gouvernement en moins d’une semaine de transformer la fameuse prime aux salariés annoncée hâtivement par Nicolas Sarkozy en un simple abondement des dispositifs existants.

La "prime" dont personne ne veut

Nicolas Sarkozy n’est décidément jamais autant lui-même que dans ce rôle de pourfendeur, seul contre tous, chevalier blanc défendant le peuple qui souffre et « la France qui se lève tôt » contre toutes les forces qui empêchent la réforme, le mouvement. Jamais aussi brillant que dans l’imposture cynique et les roulements d’épaules.
Avec la question des salaires, il nous l’a joué ces derniers jours sa partition favorite, celle du bateleur sur ses tréteaux de campagne.
En rechaussant les bottes du candidat « du pouvoir d’achat » à un an de la présidentielle, Nicolas Sarkozy a soulevé les réactions incrédules voire hostiles du patronat et le rejet des organisations syndicales en annonçant les contours d’une prime obligatoire dans les entreprises de plus de 50 salariés.