235, 282 jours : rendre cette loi caduque….
N’en déplaise à Nicolas Sarkozy qui se vante de gouverner un pays sans grèves ! L’allongement de la durée du travail, dont nos catégories vont être les premières victimes, intervient sur fond d’accroissement de la souffrance au travail.
L’augmentation et la banalisation à 235 jours au lieu de 218 de la durée annuelle du travail vont amplifier cette dégradation.
L’Ugict-CGT a fait les comptes et, en dépit des dénégations du ministre du Travail, nous affirmons que 235 jours de travail, cela nous conduit à cinq semaines de congés, plus les samedis et dimanches et le 1er Mai férié chômé.
C’est donc la suppression de toute compensation par des jours de RTT ou de congés excédant les cinq semaines et de tous les autres jours fériés.