Probasis, faisant suite aux plans semblables qui l’ont précédé, prétend assurer le devenir du groupe.
Certes il y a probablement des gâchis à traiter, notamment ceux générés par des décisions de réorganisations permanentes, et des pratiques managériales obscures, qui heurtent quelques fois le bon sens (a moins qu’elles servent à nourrir des ambitions et des BSO hors normes).
En fait les pertes de compétences programmées pour satisfaire au plan probasis qui prévoit de céder 1 milliard d’activité, affaiblissent le Groupe et dans cette spirale d’autres vont être aspirés, y compris des entreprises encore épargnées par ce plan.