Position de la Fédération CGT sur l’accord européen du Groupe THALES « Améliorer le développement professionnel en anticipant mieux » (IDEA)
La Fédération de la Métallurgie CGT se félicite d’un accord de dimension européenne portant sur l’anticipation et le développement professionnel des salariés du Groupe Thalès. L’accord définissant, en son article J, la prééminence des accords nationaux n’apporte pas en tant que tel, des droits nouveaux aux salariés du Groupe, et français en particulier, à l’exception notoire d’un droit effectif à la formation pour chaque salarié tous les trois ans minimum. L’écueil d’une ratification a posteriori d’une politique de Ressources Humaines, dénommée « People First », non négocié, est évité.

 Après plusieurs mois de négociations entre les organisations syndicales centrales et la Direction de THALES, nous pouvons désormais vous présenter l’accord sur la composition et le fonctionnement du Comité Inter Entreprises Thales qui a été signé par les organisations syndicales représentatives (CGT – CFDT – CFE CGC et FO, la CFTC n’ayant pas signé cet accord).
Après plusieurs mois de négociations entre les organisations syndicales centrales et la Direction de THALES, nous pouvons désormais vous présenter l’accord sur la composition et le fonctionnement du Comité Inter Entreprises Thales qui a été signé par les organisations syndicales représentatives (CGT – CFDT – CFE CGC et FO, la CFTC n’ayant pas signé cet accord).  A l’initiative du syndicat CGT TAD, un premier pas significatif vers un nouveau droit au sein de l’entreprise a été franchi. Initiative reprise en grande partie dans l’accord groupe.  Ce nouveau droit s’inscrit dans la logique de la Sécurité Sociale Professionnelle. Force est de constater que les plans de licenciements se succèdent, insécurisant ainsi de plus en plus de salariés, les excluant du monde du travail, mais également de la vie sociale, situation inadmissible et insupportable pour une société qui se prétend développée.
A l’initiative du syndicat CGT TAD, un premier pas significatif vers un nouveau droit au sein de l’entreprise a été franchi. Initiative reprise en grande partie dans l’accord groupe.  Ce nouveau droit s’inscrit dans la logique de la Sécurité Sociale Professionnelle. Force est de constater que les plans de licenciements se succèdent, insécurisant ainsi de plus en plus de salariés, les excluant du monde du travail, mais également de la vie sociale, situation inadmissible et insupportable pour une société qui se prétend développée. Tout comme sur les deux autres accords, la signature de la CGT en novembre dernier sur ce texte vise, en enregistrant des avancées significatives de contenu, à mettre de la cohérence dans les pratiques convenues en matières de droits supplémentaires d’exercice des droits concernant la représentation des salariés. Cet accord, par ailleurs, ne remet pas en cause les pratiques plus favorables existantes dans les sociétés du groupe. Il est d’application immédiate.
Tout comme sur les deux autres accords, la signature de la CGT en novembre dernier sur ce texte vise, en enregistrant des avancées significatives de contenu, à mettre de la cohérence dans les pratiques convenues en matières de droits supplémentaires d’exercice des droits concernant la représentation des salariés. Cet accord, par ailleurs, ne remet pas en cause les pratiques plus favorables existantes dans les sociétés du groupe. Il est d’application immédiate.