Les chefs d’État et le gouvernement s’apprêtent à signer un nouveau traité le 1er mars, en dehors de toute consultation démocratique.
Celui-ci vise à imposer des politiques d’austérité salariale, et le recul des garanties collectives dans tous les pays.
Pour la CGT, le contexte électoral national ne doit pas conduire les organisations syndicales à une neutralité face aux mesures qui frapperaient durement les salariés.
La CGT propose de porter d’autres alternatives sur l’emploi, les salaires, les conditions de travail et le travail lui-même, sur la place faite aux travailleurs dans la société, sur l’égalité entre les femmes et les hommes, sur la solidarité entre les générations et sur l’avenir de notre jeunesse.