Le grand mouvement revendicatif de 2010 à Thales concernant la politique salariale n’a pas trouvé de réponses propres à apaiser et à motiver le personnel du Groupe.
Ces actions, qui ont rassemblé des milliers de salariés deux mois d’affilés (15 000 ayant signé une pétition syndicale), avaient eu comme détonateur la politique salariale insuffisante.
Elles exprimaient aussi un mal-vivre au travail croissant depuis des années.
Organisation du travail déconnectée des besoins pour le réaliser ; entretiens d’évaluation (EAA) décrédibilisés et destructeurs en matière de santé, par manque de moyens pour réaliser les objectifs assignés ; orientations du Groupe incomprises ; accent mis uniquement sur les réductions de coûts en oubliant le développement du Groupe, etc.
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