Les personnes qui vivent les mêmes conditions de travail, qui ont les mêmes horaires, qui travaillent dans le même environnement, qui subissent les mêmes contraintes professionnelles, qui assurent les mêmes responsabilités, doivent pouvoir s’exprimer dans un lien social commun.
A l’origine de ces préoccupations, les politiques, principalement des grands groupes industriels, faites d’externalisations et de sous-traitance, tout en gardant le pilotage des processus et de la gestion en leur sein. Il s’agit, ni plus ni moins, de faire entrer à nouveau par la porte de la démocratie, les salariés que les directions font sortir par la fenêtre de la déresponsabilisation sociale. Quelle organisation syndicale pourrait trouver cela inconvenant ? Où en est-on aujourd’hui des discussions entamées depuis mi-avril dans le Groupe Thales sur la notion de communauté de travail ? lire le tract